8 mars – Journée internationale de défense des droits des femmes

vrouwendag
08.03.2023

Cette journée est célébrée dans le monde entier.
Bien que déjà pensée en 1909, il faudra attendre 1972 pour qu’elle soit bien ancrée en Europe. Simone de Beauvoir rassembla 8.000 femmes pour une marche.
 
Le 8 mars 1977, à la suite de l'année internationale des femmes de 1975, l’Organisation des Nations unies adopte une résolution enjoignant à ses pays membres de célébrer « Journée internationale de la femme ».
 
Né d’un mouvement exclusivement féministe, cette Journée de Défense des droits de la femme revêt toujours à l’heure actuelle une importance capitale car ils subsiste encore de nombreuses inégalités hommes-femmes au 21e siècle.
 
Au travers de sa cellule Gender, le SLFP lutte et dénonce ces inégalités entre les femmes et les hommes.
 
Nous mettons entre autres en avant :

  • La réduction des inégalités hommes-femmes en matière de pension
    • En réhaussant le montant minimum des pensions pour les femmes n’ayant pas pu bénéficier d’une carrière complète ou sans emploi ;
    • En octroyant la possibilité pour les femmes de bénéficier d’un bonus pension ;
    • En valorisant les interruptions carrières sans limites pour des raisons familiales pour le calcul des pensions.
       
  • La lutte contre le plafond de verre. « Equal pay »  hommes-femmes
    La notion de « plafond de verre » renvoie au fait que les femmes peuvent progresser dans la hiérarchie de l’entreprise mais seulement jusqu’à un certain niveau. Le résultat est qu’elles sont en grande partie absentes du sommet de la hiérarchie. À noter que les femmes se heurtent au plafond de verre aussi bien dans le secteur privé que dans la fonction publique mais également dans bien d’autres domaines, notamment les syndicats, fédérations patronales, ONG, autorités académiques, partis politiques, etc
     
  • Favoriser un meilleur équilibre vie professionnelle – vie privée qui constitue une réelle plus-value pour le membre du personnel. Cet équilibre peut se traduire en diverses formes comme par exemple un télétravail régulé, la prise de congés parentaux qui restent principalement l’apanage des femmes. Beaucoup d’employés masculins n’osent pas en faire la demande afin de ne pas être mal perçu par leur employeur.

 
Nous vous invitons à prendre connaissance des témoignages de notre Secrétaire générale, madame Bea Foubert et notre représentante à l’Education internationale, madame Muriel Vigneron via Youtube